La chronique de Karine - n°2
À 9h pétantes, j'arrive sur un zemidjan, bien trop pressé, à Agla. C'est au Centre des Jeunes et des Loisirs que je retrouve Salia qui a également donné rendez-vous à cinquante danseurs ! Des confirmés, des amateurs, des très jeunes, des un peu plus âgés, des béninois, des français, des petits, des trapus, des élancés, des hommes, des femmes, des danseurs de salsa ou de hip-hop et enfin des musiciens.
La salle, immense, au sol bétonné et plafond haut accueille l'atelier "Souvenirs de la Rue Princesse" depuis plusieurs jours. La salle poussiéreuse transpire déjà.
Dans son débardeur rayé noir et gris, Salia rassemble la troupe pour un échauffement. Echauffement des corps, échauffements des muscles et de la voix. Ah ! Oh ! Aaahhh !
Les membres se détendent. Un bras balance. Un corps se courbe. Une jambe fléchie. Un pied frotte le parterre. Pour finir par tous s'élancer.
Puis en deux groupes distincts, à deux coins opposés de la salle, un face à face. Des bousculades, des cris, des affrontements. Mais des affrontements dansés, chorégraphiés, spontanés. L'esprit de groupe est là. Puissant.
C'est alors que les musiciens prennent la relèvent. Dans un rythme soutenue, mais mélodieux, ils laissent échapper quelques chaudes sonorités. De la salsa.
Les danseurs se mettent en ligne. Face aux musiciens, ils reprennent la chorégraphie apprise ces derniers jours. Chorégraphie mélangeant donc le savoir-faire des danseurs de salsa mais aussi de hip-hop. Un vrai régale pour les yeux et les oreilles !
L'heure du repas sonne la fin de l'atelier. Tous rougis par l'effort ont le sourire aux lèvres… prêts à se retrouver demain avec la même énergie !
À suivre…
* * *
karine
La salle, immense, au sol bétonné et plafond haut accueille l'atelier "Souvenirs de la Rue Princesse" depuis plusieurs jours. La salle poussiéreuse transpire déjà.
Dans son débardeur rayé noir et gris, Salia rassemble la troupe pour un échauffement. Echauffement des corps, échauffements des muscles et de la voix. Ah ! Oh ! Aaahhh !
Les membres se détendent. Un bras balance. Un corps se courbe. Une jambe fléchie. Un pied frotte le parterre. Pour finir par tous s'élancer.
Puis en deux groupes distincts, à deux coins opposés de la salle, un face à face. Des bousculades, des cris, des affrontements. Mais des affrontements dansés, chorégraphiés, spontanés. L'esprit de groupe est là. Puissant.
C'est alors que les musiciens prennent la relèvent. Dans un rythme soutenue, mais mélodieux, ils laissent échapper quelques chaudes sonorités. De la salsa.
Les danseurs se mettent en ligne. Face aux musiciens, ils reprennent la chorégraphie apprise ces derniers jours. Chorégraphie mélangeant donc le savoir-faire des danseurs de salsa mais aussi de hip-hop. Un vrai régale pour les yeux et les oreilles !
L'heure du repas sonne la fin de l'atelier. Tous rougis par l'effort ont le sourire aux lèvres… prêts à se retrouver demain avec la même énergie !
À suivre…
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karine
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